Il y a des vérités
qui ne sont pas bonnes à dire et en voilà deux :
- Théodore Géricault n’est pas mort à
l’âge de 32 ans des suites d’une chute de cheval mais d’une affreuse maladie
vénérienne qui a consumé son jeune et beau corps
- Il était homosexuel
et avait une véritable passion pour les culs d’hommes bien charnus et musclés
Eh oui, Théodore Géricault en était. Et ce
n’est pas son élève et amant, Alexis
Jamar, qui va me contredire. Oubliez les balivernes écrites sur Wikipédia,
quand Géricault ne tripotait pas les
cadavres pour ses études de corps, il se plongeait à corps perdu dans celui des
hommes, affectionnant particulièrement les beaux fessiers. Cette obsession se
retrouve à la fois dans les mâles qu’il capture sur ses toiles, mais également
à travers les chevaux qui l’inspirèrent également beaucoup.
Jeté dans une fosse
commune, ce très beau jeune du XIXème s. ne doit sa fastueuse sépulture du Père
Lachaise qu’à son ami (et amant ?) Eugène
Delacroix, initiateur d’une souscription pour donner une sépulture descente
à l’un des plus grands peintres français.
Le Radeau de la méduse, entièrement
composée de modèles-cadavres, à l’exception de la présence de son amant, Alexis Jamar, est l’un des legs de Géricault au patrimoine artistique
français [étonnement, ce tableau ne compte aucun postérieur, mais n’est pas
avare de poses lascives]. Mais n’oublions pas toutes les autres toiles et
dessins qui rendent grâce à l’une des parties les plus érotiques du corps
masculin.
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